DELVAL Robert
Paris, Le square du Vert Galant, 1989
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2 500,00 €
Huile sur toile.
Signée par l'artiste.
Dimensions: 50x61 cm
Le square du Vert-Galant est un square du 1er arrondissement de Paris.
Il se trouve à la pointe ouest de l'île de la Cité, dans le quartier Saint-Germain-l'Auxerrois du 1er arrondissement. Le niveau du square est situé sept mètres plus bas que le niveau actuel des autres parties de l'île, ce qui correspond au niveau que celle-ci avait autrefois. Le faible surplomb du square par rapport à la Seine explique qu'il soit inondé, voire totalement submergé lors des plus importantes crues du fleuve.
Il a été créé par la réunion de plusieurs petites îles dont l'île aux Juifs, où furent brûlés les derniers templiers, et l'île du Patriarche. Une plaque commémorative rappelle d'ailleurs que c'est à cet endroit qu'eut lieu, le 18 mars 1314, l'exécution sur le bûcher du « dernier grand maître de l'ordre du Temple », Jacques de Molay.
Avant d'accueillir un square, les 2 665 m2 étaient dévolus aux bains vers 1765, puis à un café concert en 1865. Celui-ci fut détruit par une inondation en 1879.
En 1884, l'État cède le terrain à la ville de Paris.
À l'occasion de l'inauguration de l'Exposition universelle de Montréal, en avril 1967, une cérémonie amicale organisée par la ville de Paris a lieu en compagnie de l'ambassadeur du Canada, Jules Léger, et de son homologue de la délégation générale du Québec à Paris, Jean Chapdelaine. Le maire de Montréal, Jean Drapeau, n'a pu venir et il fut représenté par Léon Lortie et Jean Vinant, publicitaire de l'Exposition en France. Une pierre en provenance de l'île Sainte-Hélène (Montréal) fut déposée dans le square du Vert-Galant. Selon l'auteur Yves Jasmin de La Petite Histoire de l'Expo 67, il y eut plus de 30 000 spectateurs qui assistèrent à cet événement, lorsque le bateau Saint-Laurent arriva sur le quai où fut transportée la pierre en compagnie du préfet de Paris. ( Source : wikipedia ).
Robert Delval
Né en 1934 à Montmartre.
Son éducation artistique s’est forgée avec les peintres de rue dans le quartier de son enfance, les livres et les musées.
A vingt-cinq ans, il part avec pour seul bagage ses pinceaux et ses carnets vivre l’aventure en Europe, puis aux Etats-Unis…
Revenu en France, il passe le printemps et l’été sur la côte méditerranéenne, l’automne et l’hiver à Megève où il vend ses aquarelles aux passants, parmi eux Françoise Sagan.
Alors qu’il avait déposé une petite gouache chez un encadreur à Montmartre, André Roussard, remarque cette vue du jardin du Luxembourg et demande à l’encadreur de dire au peintre de passer le voir à la galerie. Nous sommes en 1970, Robert Delval rencontre André Roussard et par là-même son premier marchand qui l’accompagnera pendant plus de trente ans. Dès la première exposition, tout est vendu. Ensemble, il monteront de nombreuses expositions en France, aux Etats-Unis et en Europe (Belgique, Suisse…) et les œuvres de Robert Delval rentreront dans les collections de très grands amateurs d’art.
Robert Delval est un maître de la couleur. Par de grands aplats il sait jouer avec les perspectives et les champs de fuite avec une grande technicité.