PETITE POISSONE
Évidemment t'es qu'un sale con évidemment j'ai tous les torts Comment faire sinon pour ne plus s'aimer encore
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/// PETITE POISSONE ///
« Évidemment t'es qu'un sale con évidemment j'ai tous les torts Comment faire sinon pour ne plus s'aimer encore »
Technique mixte
Dimensions encadré : 22x18 cm
Oeuvre originale signée par l'artiste.
Certificat d'authenticité.
/// Biographie de PETITE POISSONE ///
Petite Poissone est une poétesse de rue. Ses messages ressemblent à des instantanés, à l'humour caustique à l'anglaise, aux aphorismes urbains. Toujours écrits avec la même calligraphie élégante et identifiable, ses détournements poétiques empruntent aux approches humoristiques de Gotlib ou de Monty Python et abordent les déceptions des amoureux autant que la critique sociale.
/// L'insolente poésie street art de Petite Poissone ///
Article d’Olivier Granoux
paru dans Télérama
De Paris à Marseille, ses petites phrases font le bonheur des passants. Petite Poissone, Grenobloise de 42 ans, est une street artiste qui colle dans les rues de mystérieux mantras chics et choc.
« Plan A, rester digne. Plan B : tout démonter »… Petite Poissone est une enfant de Ben et Miss Tic à l’esprit rock’n’roll, même si elle s’inspire plutôt de la chanson française. Parmi nos préférés : « J’aimerais tant que tu te souviennes… mais pas de tout quand même » ; « Et même si tu revenais, je crois bien que ce jour-là j’ai poney » ; ou le déjà culte « Nous n’irons plus jamais, où tu m’as dit ta gueule », adoubé par Hervé Villard en personne.
Toujours écrits avec la même calligraphie élégante et très identifiable, ses détournements poétiques empruntent l’humour de Gotlib ou des Monty Python, et abordent autant les déboires amoureux que la critique sociale : « Venez comme vous êtes, repartez avec du diabète » - posé devant un fast food ; ou pendant les élections, le subtil « Marine et Marianne sont dans un bateau… » Des interventions arty dans l’espace urbain pour la beauté du geste ; Petite Poissone ayant un boulot à côté, simplement motivées par son goût pour les balades en ville et un souhait si pur qu’elle pourrait finir par le coller sur les murs : « juste un instant, faire sourire les gens ».