JAËRAYMIE

Jaëraymie - Peinture originale - Les Filles d'Olympe I

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Peinture.  50x160cm

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/// JAERAYMIE ///

Oeuvre originale et unique. 50x160cm
Dessin au point sur panneau de bois découpé et aquarelée.
Il existe deux fresques " Les filles d'Olympe ", l'une avec le loup, l'autre avec la hyène.

> Un shooting photo réalisé entre 2017 et 2020
> Pour les deux fresques, plus de 60 femmes auront participé
> Réalisation d'une quarantaine de dessins au point ( Mine 0,5 ) sur bois
> Les pièces de bois sont entièrement découpées à la main à la scie à chantourner
> Composition, mise en volume et coffrage en bois
> Mise en couleurs à l'aquarelle
> Montage final

Jaëraymie, street artist qui pose ses aphorismes et dessins dans les rues de Paris depuis 2017, a réalisé une fresque vandale pour la journée de la femme en 2019. Pas moins de 15 mètres de long, et une trentaine de femmes représentées, qui avaient toutes répondu à l’appel de Jaëraymie sur les réseaux sociaux pour poser pour cette fresque sur le harcèlement de rue.
 
Parti la coller le 8 mars, avec certaines des modèles de la fresque, en plein 11ème arrondissement de Paris, Jaëraymie et sa petite troupe ne tardent pas à éveiller la vigilance des voisins. Un coup de fil au commissariat de leur part et la Police déboule. Mais voilà, une fresque contre le harcèlement de rue, pour le 8 Mars, journée internationale des droits des femmes, ainsi qu’une solide argumentation de Jaeraymie lui permet d’obtenir un sursis de 24h. L’œuvre existera mais de manière très éphémère. 


Quelques heures plus tard la fresque est posée, Jaëraymie cherche alors à contacter la mairie du 11ème et finit par tomber sur un proche conseiller du maire. Il explique sa démarche artistique par téléphone, envoie la photo de la fresque et obtient un nouveau sursis de 3 jours. Il ne veut pas se résigner à ce que cette œuvre soit si vite détruite.


Finalement la fresque sera légalisée par le maire en personne qui rencontrera jaëraymie devant la fresque. 

Cette œuvre s’inscrit dans la continuité d’une thématique, celle du droit des femmes et leur respect, qui tient à cœur à Jaëraymie depuis ses premières interventions dans la rue. Sa première série d’œuvres en 2017 s’appelait « le romantisme est un truc de bonhomme », pour inciter les hommes à être des gentlemen avec les femmes ; et lors de son road trip aux Etats-Unis en 2018, il avait abordé divers sujets de société, dont celui-ci avec l’œuvre « Wo-man ». Pour sa fresque de 2019, il voulait aller plus loin en réalisant des œuvres pour galerie afin de continuer à transmettre ce message dans des œuvres pérennes mais le confinement a reporté ce projet d’un an.
 
Les deux œuvres sur bois dans la lignée de la fresque de rue, ainsi que les deux éditions limitées qu’il a tirées à 30 exemplaires sont présentées pour la première fois à l’Urban Art Fair pour l’édition 2021.

 


Certificat d'authenticité.

/// Biographie de JAERAYMIE ///

JAËRAYMIE est un Street artist parisien né à Paris en 1986, il vit et travaille à Paris. Il est un artiste autodidacte qui a commencé la pratique de l’art urbain en 2016.  Street Artiste adepte du collage et du pochoir, il intervient dans l’espace public pour surprendre les passants, les faire réagir à une actualité, leur transmettre une émotion ou tout simplement les faire sourire. Il a commencé le street art en 2016. Il s’est fait remarquer avec ses pastiches d’affiches électorales lors des élections présidentielles de 2017, puis s’est fait connaître avec sa série « Le romantisme c’est un truc de bonhomme ». Après un long séjour aux Etats-Unis pour le projet « Excuse my fresque », à Paris, il a répondu à la demande de l’Ambassade de la République Tchèque en France pour faire un mur sur le Champs de Mars à l’occasion des commémorations de 1918-1968 pour lequel il a accompagné son visuel d’une citation de Kundera. Parmi ses réalisations les plus marquantes, notons aussi son mur de 11 mètres de long réalisé pour la journée de la femme afin de sensibiliser au harcèlement de rue, mur légalisé spontanément a posteriori par le maire du 11ème arrondissement de Paris. Puis sa série "Les expressions idiomatiques" pour laquelle il a fait 30 oeuvres sur les murs parisiens et 30 oeuvres réparties dans différentes villes de province aux quatre coins de l'hexagone. Un livre raconte la genèse de cette série et son histoire.  Oscillant entre légèreté et gravité dans les sujets qu’il aborde, il n’est jamais agressif, ni péremptoire. Ses œuvres apportent, pour nombre d’entre elles, un regard singulier, biaisé, ironique et paradoxal sur notre société.