/// NOTY AROZ ///
Dessin original.
Signé. 40x23cm.
Ce dessin a été reproduit sur la carte " Le Joker " du Jeu de Cartes du Street Art.
Certificat d'authenticité.
/// Biographie de NOTY AROZ ///
Noty Aroz est un duo artistique qui représente les divinités de la « Mythologeny », mythologie de la génération Y. Inspirée par les héros de la culture populaire de la deuxième partie du XXème siècle et par les cultures anciennes, la Mythologeny est un savant mélange de ces deux sources d’inspiration. Chaque personnage du panthéon contemporain puise son origine dans un héros et une divinité de chacune de ces deux cultures. Ce mélange est qualifié par le duo de «syncrétisme», système philosophique ou religieux qui tend à faire fusionner plusieurs doctrines différentes, et dont ils sont les apôtres.
/// " Splendido " par NOTY AROZ ///
Le film The Mask, adaptation cinématographique du comics éponyme, sort au cinéma en 1994. Interprété par Jim Carey, le personnage principal, Stanley Ipkins, est un employé de banque timide. Il découvre un masque qui, une fois porté, révèle sa personnalité cachée, celle d’un fan de l’univers de Tex Avery.
Il devient alors The Mask, un personnage burlesque et extraverti. L’objectif principal de Stanley et de The Mask est de conquérir le cœur de Tina, la belle chanteuse de cabaret. Lorsqu’il porte le masque, celui-ci permet à Stanley de s’affranchir de lui-même afin de séduire sans complexe, totalement désinhibé.
L’objet du masque en tant que désinhibiteur fût inventé par les italiens lors des bals masqués – Mascherata – et également portés lors du célèbre Carnaval de Venise. Lors de ces soirées, l’objectif principal était d’obtenir les faveurs charnelles sans lendemain des autres participants. Deux autres éléments lient les deux univers.
Premièrement, les mascherata permettaient de niveler toutes les inégalités. Derrière un masque, les classes sociales n’existent plus. Dans le film, Stanley Ipkins braque sa propre banque lorsqu’il devient The Mask, ce qui lui permet de se hisser socialement.
Enfin le rapprochement est évident entre le bal et la danse, omniprésente dans le film, et notamment au Coco Bongo, lieu emblématique du film culte.